Test “in:dark” : nouveau jeu de plate-forme à l’envers, sur iPhone et iPad
Vu dans la liste des
nouveautés jeu de la semaine, voici in:dark, un titre
développé par Ryoji Ozu, qui nous vient du Japon et qui mêle
histoire touchante et jeu de plateforme effréné. Dans un univers aux visuels à
la fois industriels et poétiques, il faut aider un petit personnage à retrouver
sa mémoire. Réflexes et concentration sont de mise dans in:dark, une nouveauté
jeu iOS plutôt originale :
C’est en fait l’âme d’une petite fille que l’on contrôle dans une sorte de
jeu de plateforme automatique se déroulant de haut en bas. Il faut se frayer un
chemin parmi les ennemis et récupérer les bonus de vie et de capacités
spéciales parsemés dans les niveaux.
L’âme que l’on contrôle est invincible, mais est reliée au corps de la
petite fille qui peut lui se faire toucher. D’ailleurs, à chaque touche, c’est
un coeur de vie en moins. La partie se termine quand tous les coeurs ont
disparu. Il est bien sûr possible de regagner de la vie, ou même d’améliorer
ses compétences sépciales grâce aux différents objets à ne pas louper.
Le jeu se contrôle simplement, en faisant glisser le doigt là où l’on veut
se déplacer. Pour aller plus vite, il suffit par exemple de tirer le doigt vers
le bas.
Chaque niveau réussi permet de récupérer un fragment de la mémoire perdue de
la jeune fille, le but est d’arriver à recoller tous les morceaux du tableau
oublié.
Le jeu est simple à appréhender, difficile à maitriser et se parcourt dans
une ambiance pixelisée quasi monochrome, avec des nuances de bleus sombres et
clairs, et des jeux de lumière assez éblouissants.
Le tout est mis en son à l’aide d’une musique entrainante joyeuse et des
effets sonores appuyant la nervosité de l’ensemble. Car c’est en effet un jeu
qui demande pas mal de réflexes. Dans les niveaux avancés notamment, il faut
faire face à beaucoup d’ennemis en même temps.
En bref, voici un jeu sympathique s’adressant à tous les publics et jouable
pour de courtes parties. Un poil cher cependant, d’autant qu’il n’est pas
traduit en français, même si cela n’est pas bien grave.
