Le test de l’iMac M3 révèle 4 points forts, mais aussi quelques déceptions
Pour nos confrères de chez Presse-citron.net, l’appareil reste une référence sur son secteur. Mais quelques ombres viennent – doucement – noircir le tableau. Faisons le point.
L’iMac M3 est disponible depuis peu. Présenté en octobre dernier par Apple, la bête reprend trait pour trait le design de son prédécesseur avec un tarif de base de 1 599 euros pour la version avec deux ports USB-C. Quatre coloris sont disponibles avec celle-ci : bleu, vert, rose ou argenté. Un modèle avec une puce plus puissante (dix cœurs de carte graphique au lieu de huit) est également proposé à partir de 1 829 euros. Ce dernier embarque deux prises universelles supplémentaires, avec aussi trois coloris exclusifs : jaune, orange et mauve.
Mais alors, que la proposition de valeur a-t-elle vraiment de quoi séduire ? Pour Romain Vitt de Presse-citron.net, qui a pu tester l’appareil en conditions réelles, c’est le cas. Notamment car cet ordinateur tout-en-un dispose d’un “écran magnifique“. Il faut dire que son imposante dalle Retina de 24 pouces profite effectivement d’une définition 4,5K, soit presque autant que l’iMac Pro présenté en 2017. Rappelons cependant que le nouvel iMac se contente d’une luminosité de cinq cents nits seulement : c’est vraiment peu. Surtout comparé, par exemple, à un MacBook Pro 16 pouces, capable pour sa part d’atteindre les mille six cents nits en luminosité de pointe.
Des performances de haut vol
L’iMac M3, comme son nom l’indique, est donc propulsé par la puce éponyme. Celle-ci est annoncée comme particulièrement véloce par le test de Presse-citron.net, qui estime, entre autres, que la machine est bien plus “musclé[e]” que son prédécesseur. Ce dernier était équipé du processeur M1. Pour nos confrères, le nouveau modèle de base reste “suffisant[…] pour les usages du quotidien”. Il s’agit d’une version équipée de huit gigaoctets de mémoire vive seulement, soit l’option à l’entrée également proposée par Apple pour les MacBook Air et les MacBook Pro.
Le média rappelle par ailleurs que l’iMac M3 est affiché comme 24 % plus puissant que l’iMac M1, selon les chiffres officiels fournis par le fabricant. Ce dernier fait assembler la carte mère par un sous-traitant, en Asie. Il s’agit de TSMC, aujourd’hui considérée comme la douzième capitalisation de la planète, là où la firme à la pomme se classe aisément première de la liste.
Gare aux accessoires
Malgré tout, comme nous l’évoquions précédemment, quelques ombres viennent noircir le tableau de ce nouvel iMac. Tout d’abord, du côté de la connectique. Le nombre de prises est effectivement très limité, et aucun port HDMI n’est par exemple de la partie. Idem pour le lecteur de carte SD : il faut opter pour un MacBook Pro, chez Apple, pour y avoir droit. Alors qu’avec l’iMac, un adaptateur est donc de rigueur.
Avec ceci, la Magic Mouse reste peu pratique, notamment car la souris sans fil ne peut pas être utilisée lorsqu’elle est en cours de charge. Des rumeurs laissaient bien penser qu’un nouveau modèle, plus ergonomique, serait dans les cartons. Mais nous n’en avons toujours pas vu la couleur, pour le moment.
Et vous, quel est votre avis sur ce nouvel iMac ?