Facebook sort Lifestage : une app réservée aux moins de 21 ans (US)
En ce moment, c’est un peu la guerre des
réseaux sociaux, chaque compagnie se renvoyant coup pour coup pour avoir
le service le plus tendance. Après l’ajout du mode
Stories dans Instagram, lancé pour marcher sur les platebandes de
Snapchat, avec des montages photo et vidéos éphémères, Facebook tire sa
nouvelle cartouche, Lifestage. Une nouvelle application
sociale avec la particularité de ne pouvoir s’y inscrire que si âgé de
moins de 21 ans :
Entre temps, Facebook a également
lancé une nouvelle fonctionnalité de son app du réseau social, au Canada et
Brésil dans un premier temps, qui amène une présentation centrée sur le partage
de photo et vidéo et une interface très snaptchatienne.
Concernant la nouvelle application Lifestage, c’est pour le
coup totalement centré sur le partage de vidéo. Pour faire simple,
l’application incite l’utilisateur à partager des moments de vie en de
coutes vidéos, plutôt qu’en statut texte comme sur Facebook ou
Twitter.
Cela débute dès le premier lancement de l’app, qui demande de prendre
différentes vidéos de soi qui sont alors compilées pour être affichées
comme vidéo de présentation de son profil.
Hormis l’âge limite de 21 ans, l’app impose une autre
condition : rentrer son établissement scolaire. Le flux
général n’indique en effet pour le moment que les utilisateurs d’une même
école.
Et même s’il semble possible de se connecter à d’autres utilisateurs via ses
propres contacts, cela semble être bien éloigné de la fonctionnalité d’ajouts
de membres à la Snapchat.
Enfin, aucune fonction de messagerie instantanée n’est pour
le moment disponible dans l’app.
Lifestage apparait visiblement comme plutôt limitée dans sa
version actuelle, ce qui peut être normal puisqu’il s’agit de ce qu’on appelle
un "soft-launch", soit un lancement débutant de manière très localisée, comme
une sorte de test, avant un lancement d’une nouvelle version à plus grande
échelle. À voir comment évoluera Lifestage à l’avenir et comment l’application
sera appréhendée par le jeune public auquel elle se destine.
Aphomoch
22 août 2016 à 16 h 48 min
@Sandra.mcc
+1000
Protégeons nos jeunes, supprimons les smartphines !
Sandra.mcc
22 août 2016 à 16 h 22 min
J’ai 32 ans … Et je vais avoir l’air vieux jeu encore ce coup mais je
tiens vraiment à dire que la majorité des jeunes aujourd’hui (justement sous
les 21 ans) sont particulièrement irresponsables et disons, vulnérables.
Rien y fait. Ils sont hyper connectés, à outrance, véritablement collés à
leur Smartphine et ce dès l’âge de 11 ans pour certains.
Ils font tout et n’importe quoi, surtout n’importe quoi … Discutent pour
ne rien dire et tentent de se faire remarquer par le biais de leur existence
sur Facebook Instagram et autre.
Jusque là pas de problème si ce n’est que certains d’entre eux se coupent
littéralement de leur famille, de sortir, de faire du sport… Ma nièce en fait
malheureusement partie et depuis qu’on lui a offert notre ancien iPhone 5…
C’est un enfer dans son foyer, elle est coupée du monde et parfois jusqu’à 1h00
du matin en cachette …
Il est très difficile pour les parents de remédier à ce problème, surtout
qu’il s’agit ici d’une mère célibataire qui n’arrive pas du tout à gérer les
connexions de sa fille.
Je n’en fais pas une généralité… mais si elle discute avec d’autres enfants
c’est que les autres enfants en question font la même chose C.Q.F.D.
On lui a fait un cadeau empoisonné je crois bien…
Miamid (posté avec l'app i-nfo.fr V2)
22 août 2016 à 20 h 53 min
"Pour cette fois", complètement d’accord avec sandra.
J’ai une fille qui ne décroche plus des réseaux sociaux.constament en journee
et soiree avec son groupe d’ami sur messenger et autres…
On regrette un peu l’achat de son 6s dans ces cas là.surtout qu’elle a juste
13ans.
Darkstar (posté avec l'app i-nfo.fr V2)
22 août 2016 à 21 h 33 min
Un 6s a 13 ans quelle idée aussi
Tery (posté avec l'application iFon.fr HD)
23 août 2016 à 9 h 24 min
Et il n’y a que des moins de 21 ans qui cherchent
les pokemon ?
On commence l’education en donnant l’exemple