L’étude Apple sur la fibrillation auriculaire réunit des centaines de milliers d’utilisateurs d’Apple Watch
Fin de l’année dernière, Apple lançait une étude sur la fibrillation auriculaire, en collaboration avec l’Université de Stanford. Celle avait pour objectif de déterminer si l’Apple Watch pouvait détecter efficacement, les problèmes d’arythmie des utilisateurs.
Dans un précédent rapport, il avait été avancé un nombre de 600 participants à cette étude, mais il s’agirait en réalité de centaines de milliers de participants.
En effet, d’après une publication de l’université de Stanford, cette étude a réuni plus de 400 000 participants. Cela afin de déterminer si une app Apple Watch, pouvait analyser le rythme cardiaque et détecter un problème de fibrillation atriale.
Non diagnostiqué, la fibrillation atriale peut potentiellement augmenter les risques de crise cardiaque, mais aussi d’accident vasculaire cérébral. Il s’agit d’une des maladies cardiaques les plus courantes au monde.
Habituellement, ce genre d’étude regroupe une centaine à plusieurs milliers de participants, mais jamais autant que celle conduite par Apple et Stanford. Cela a pour avantage d’obtenir des résultats précis et fiables.
On imagine que les résultats de cette étude, ont participé à la validation par la FDA des deux apps Apple Watch. À savoir, la fonction de notification d’arythmie. Ains que l’app de mesure d’électrocardiogramme, qui indique à l’utilisateur si il pourrait potentiellement avoir un problème d’arythmie.
Pour rappel, l’électrocardiogramme de la montre n’a pas été validé par la FDA, comme appareil médical approuvé. L’organisme américain a catégorisé ce dispositif dans la classe 2, et le considère comme un appareil en vente libre.
