Ces touches de clavier Mac rétro valent 600 € pièce… Mais pourquoi ?
Un clavier Apple coûte un peu moins de 200 euros aujourd’hui, mais une seule touche peut valoir 10 fois plus chère.

Quand on s’intéresse à l’histoire d’Apple, on tombe rapidement sur des ventes aux enchères où d’anciens produits qui ont fait la gloire de la marque s’arrachent contre des milliers de dollars. Mais des artistes ont également suivi ce mouvement en proposant des objets d’exception, faits en matériaux précieux, pour donner un aperçu de l’histoire d’Apple aux passionnés.
C’est notamment le cas de Susan Kare, une « pionnière de l’iconographie informatique » comme elle se décrit sur son site web. Elle propose plusieurs objets à la vente, dont des touches de clavier pour Mac faites en or et en argent. Pour un prix allant de 600 à 2000 euros, vous pourrez vous offrir des touches d’ordinateurs en matériaux précieux avec, sur le dessus, des représentations « informatisés » de symboles communs.
Il est ainsi possible de mettre la main sur une touche « tasse à café » ou encore « livre et « lettre ». Vous pouvez également acheter ces créations sous la forme de bijoux, avec des colliers. Concrètement, une touche « coeur » disponible en argent ou en or est vendue par l’artiste au prix de 614 euros pour sa version en argent. Il faudra débourser 983,95 € pour l’avoir en or. Les colliers sont eux un peu plus chers, avec un prix de 1352 € pour les versions en argent et 1967 € pour des créations en or.
© Susan Kare
Un marché en pleine expansion
En plus de ces créations en forme de touches de clavier ou de bijoux, Susan Kane a récemment ajouté une nouvelle œuvre à son catalogue. Elle propose en effet des reproductions du mythique drapeau pirate de Steve Jobs. Vendu 14 000 dollars, le produit, fait main, est igné par Susan Kane.
En 1983 c’était déjà elle qui avait peint le drapeau originel pour Steve Jobs suite à une déclaration du patron d’Apple assurant qu’il valait mieux être un pirate qu’un membre de la Navy. Signé et daté, chaque drapeau est numéroté. Susan Kane a prévu de limiter la production de cette oeuvre à 500 exemplaires.