Ce Macintosh peut tenir dans une main
Un passionné d’informatique rétro a en effet relevé ce défi de taille. Pour y parvenir, cela a nécessité du savoir-faire, de l’huile de coude, et beaucoup de patience.
Faire tourner une ancienne version de Macintosh sur un petit Raspberry Pi est possible ! Un passionné d’informatique rétro a en effet relevé ce défi de taille. Il a réussi à émuler un ancien Macintosh 128k sur un microcontrôleur Pico RP 2040. Pour y parvenir, cela a nécessité du savoir-faire, de l’huile de coude, et beaucoup de patience.
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Explications
Si on devait vulgariser la chose au maximum, on dirait qu’un Raspberry Pi est un petit ordinateur, qui fait la taille d’une carte de crédit. Il peut être équipé de différents ports comme un ordinateur, que ce soit USB, HDMI, VGA ou Ethernet.
Étant donné qu’il peut déjà faire tourner plusieurs systèmes d’exploitation basés sur Linux, un passionné d’informatique a voulu tenter d’installer Macintosh 128K dessus. Au vu des faibles performances que proposaient les OS à l’époque, il s’est probablement dit que cela devait être largement possible.
Le projet porte le nom de Pico-Mac. Pico est le nom du modèle de Raspberry Pi utilisé pour ce projet, et Mac pour Macintosh. L’objectif était de reproduire à l’identique (ou presque) l’expérience d’utilisation du Macintosh 128k, avec des ressources limitées. L’homme a en effet volontairement choisi le Pico RP 2040, qui ne coûte que 10 euros et ne propose pas les mêmes capacités que des versions améliorées, comme le Raspberry Pi 4 (ou+), sur lequel on peut installer une version allégée de Windows 10.
Pour en savoir plus sur le projet, vous pouvez consulter cet article, qui explique l’ensemble du processus. La page est en anglais mais vous pouvez utiliser la traduction automatique de votre navigateur si besoin.
Ce projet n’est pas sans rappeler celui d’un autre passionné, qui a réussi à installer Flappy Bird dans Finder de macOS. Il ne s’agit pas exactement du même type d’initiative, mais l’esprit DIY est là. Il y aussi le projet de John Calhou qui vaut le détour.
