L’iPhone en passe de devenir culte ?
On a bien
senti le 9 Janvier, lors du show de Steve Jobs et dans les jours d’après, que
quelque chose se passait autour de l’iPhone. On a vu
le buzz qui a suivi dans les semaines suivantes également, mais ceci ne
fait que se confirmer alors que l’on s’approche de la date de lancement.
A un tel point que le responsable d’un institut de sondage n’hésite pas
à parler de l’iPhone comme une machine culte, ca paraît un peu fort,
mais on verra si ils ont raison. En tout cas, pour appuyer ceci, ils s’appuient sur le résultat d’un sondage très positif sur la
machine (vous pouvez aussi consulter le résultat des sondages exclusifs réalisés sur les internautes
Français par iPhon.fr.
Ainsi, suite à un sondage ayant concerné 1116 personnes majeures, entre le 13
et le 19 Février, prêt de 20 % des personnes interrogées seraient
intéressées par l’iPhone. Ce sont ensuite 9% des personnes qui
veulent un iPhone qui l’acheteraient dès sa sortie, 8 % attendraient
que leur contrat actuel avec leur opérateur se termine pour l’acquérir tandis
que 25 % seraient prêt à se l’offrir si leur opérateur le
proposait. Enfin, 40 % attendront que le prix baisse.
Par ailleurs, le sondage indique que les fonctionnalités les plus
attractives de l’iPhone sont : la capacité de stockage à 37%, le
GSM quadri bande à 36 % et l’interface simple, intuitive et ‘cool’ à 31
%. C’est à la fois proche et éloigné du sondage effectué sur iPhon.fr auprès de plus de 400 visiteurs
début mars 2007 : l’interface graphique et l’écran sensitif avait en
effet remporté tous les suffrages, tandis que la capacité mémoire laissait
quasiment tout le monde de marbre.
Enfin, j’ai gardé le meilleur pour la fin, la notoriété du nom
iPhone serait d’ores et déjà incroyable puisqu’elle représente quelque chose
pour 47 % des personnes interrogées. Nul d’être un grand expert du
marketing pour se rendre compte que c’est énorme pour un produit qui n’a été vu
que très fugitivement dans des présentations
ou derrière une vitrine lors du Keynote de Janvier.
