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Tim Cook soutient les jeunes développeurs
Le patron d’Apple est en voyage au Japon et dévoile son quotidien sur Twitter, pour le plus grand bonheur de ses abonnés.
Dimanche dernier, le CEO de la société de Cupertino partageait un cliché de la skyline de Tokyo, avec la célèbre tour éponyme au premier plan. Le dirigeant est en effet en déplacement professionnel dans le pays du Soleil levant, pour représenter Apple lors de différents événements.
Il y a notamment encouragé plusieurs Japonais doués en programmation, à l’instar d’une femme de 84 ans et d’une jeune fille qui a appris à coder des applications… À seulement dix ans. Un message bienvenu, mais qui contraste avec le no-code movement initié il y a peu par des startups comme Makerpad (dont le fondateur est l’ex-CMO de Product Hunt) et porté par Vlad Magdalin, PDG prolifique de Webflow.
Le parcours de Tim Cook
Lors de son excursion au Japon, le protégé de Steve Jobs a également pris le temps d’aller boire un verre dans un bar avec Gen Hoshino, un chanteur très apprécié localement. Puis, en visite dans une école de médecine, il a souligné les avantages de CareKit et de l’Apple Watch en matière de santé. Celle-ci sauve en effet régulièrement des vies, même si les secours critiquent son fonctionnement.
Coding is one of the most important skills you can learn. Loved celebrating Computer Science Education Week with students from Rikkyo Primary School at Apple Marunouchi! ?? #TodayatApple pic.twitter.com/lBv78PRGxk
— Tim Cook (@tim_cook) December 9, 2019
Tim Cook est aussi allé rencontrer l’équipe de la startup TimeTree, qui propose une application sur le modèle de Google Calendar, mais pour toute la famille. Si le concept n’est pas exceptionnel, il a le mérite de proposer la connexion via un identifiant iCloud. Pour terminer, ce sont les salariés de l’Apple Store de Marunouchi qui ont pu rencontrer leur patron.
Les CEO des grandes entreprises jouent souvent plusieurs rôles : le premier est surtout exécutif, tandis que le second est celui de porte-parole de la marque. C’est ce dernier qui demande de traverser des frontières, avec parfois des coûts faramineux en matière de sécurité.