Un texte de loi particulièrement critiqué suscite l'indignation chez de nombreux consommateurs.
Ça chauffe au pays de l'Oncle Sam, où la position dominante de la Pomme agace de plus en plus les législateurs.
Les soupçons de comportement anticompétitif pesants sur la marque à la pomme traversent le Pacifique.
Conformément à sa politique de confidentialité, la firme ne s'est évidemment pas laissé faire aussi facilement.
Le cofondateur d'Apple devra témoigner devant la cour pour se justifier.
Un poids lourd dans le monde des multinationales, très écouté aux USA.
Pas question de se laisser faire quand on pèse autant que 10% du PIB du pays.
Mieux vaut éviter de reproduire sans autorisation les accessoires des iPhone et des Mac, au risque de se retrouver devant la justice.
Tout le monde est logé à la même enseigne lorsqu'il faut s'acquitter du droit d'entrée sur l'App Store.
Il faut montrer patte blanche pour tenter de convaincre les modérateurs de la plateforme.
L'entreprise était spécialisée dans la cybersécurité, mais l'acquisition est passée inaperçue.
Apple a indiqué lors du premier jour de son procès contre Epic Games ne représentait "que" 30% des ventes dans le marché du jeu vidéo.
Un conflit historique qui résonne jusqu'en France, où les législateurs s'interrogent également.
Les législateurs accusent la firme d'un comportement anticoncurrentiel proéminent.
La technologie a depuis disparu, au profit du HTML5 jugé plus efficient par nombre de développeurs.
Un procès de taille s'ouvre aux États-Unis, où Apple fait face à une action de groupe.
Pire, les plaignants veulent faire interdire les ventes de la montre aux États-Unis.
Le réseau social pourrait se voir obligé de payer une lourde amende, pour l'exemple.
Un appel d'envergure semble guetter les deux acteurs de la polémique.
Le sort de la société attend d'être réglé par les dirigeants américains.