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Beats propose encore une édition spéciale de ses écouteurs
Il s’agit d’ailleurs de son meilleur modèle, si on compare leurs fiches techniques sans prendre en compte le design.
C’est avec l’artiste anglo-iranienne Paria Farzaneh que Beats a choisi de s’associer pour la nouvelle version de ses Powerbeats Pro, cette fois-ci recouverte d’un coloris jaune cassé où se superpose un imprimé noir pixellisé relativement discret. Prix : 250 dollars, soit environ 237 euros au taux de change actuel. C’est le même tarif que pour les Powerbeats Pro de base, même si ces derniers sont faciles à dénicher avec de sérieuses promotions à leur avantage.
Fiche technique
Propulsés par un processeur Apple H1 propriétaire, les Powerbeats Pro sont des écouteurs sans fil dotés d’une armature en plastique souple qui vient entourer l’oreille pour mieux tenir la route en cas de mouvement. Il s’agit donc d’une paire mieux adaptée au sport que les AirPods Pro par exemple, car la tige de ces derniers pèse trop lourd sur leurs embouts en silicone. Qui plus, vous avez avec les Powerbeats Pro droit à un véritable format intra-auriculaire, ce qui n’est pas le cas de la “concurrence” pommée.
Pour l’autonomie, ce sera jusqu’à neuf heures d’affilée, dont une heure et demie peut être obtenue avec seulement cinq petites minutes de charge sur secteur. Les Powerbeats Pro peuvent être retrouvés avec l’app Localiser si vous les avez perdus, et supportent le contrôle vocal via Siri grâce à un microphone intégré. À ceci viennent également s’ajouter des commandes tactiles sur le côté.
Paria Farzaneh
Particulièrement influente dans le milieu de la mode londonienne, Paria Farzaneh a donc collaboré avec le fabricant lors de la création du design de ces Powerbeats Pro, par ailleurs disponibles en quantité limitée.
Le travail de la styliste est aussi reconnu dans le domaine du textile, avec par exemple des blousons, t-shirts et autres pantalons ou bobs à retrouver sur sa boutique officielle. Attention cependant, car il faut débourser des sommes astronomiques pour s’offrir ces pépites : la facture dépasse souvent plusieurs centaines d’euros par article, après conversion du montant en livres sterling.
À l’heure de la fast fashion, ce partenariat fait tâche quand on sait qu’Apple ambitionne de réduire ses émissions de gaz à effet de serre à zéro d’ici à 2020. Les efforts faits pour recycler les iPhone font pourtant écho aux valeurs des habits de seconde main, qui sont en prime plus abordables en friperie.