Apple Watch
La prochaine Apple Watch pourrait détecter le stress
L’Apple Watch Series 6 pourrait bien être capable de détecter le stress, l’anxiété ou les troubles mentaux. Elle devrait être présenté lors de la keynote de cet automne.
D’après les informations circulant autour d’Apple. Le travail autour de la santé va encore s’accentuer au cours des prochaines années. Beaucoup de connaisseurs de la marque à la pomme ont été étonnés lors de la présentation de WatchOS 7 de n’entendre aucune nouveauté concernant la mesure du stress. Il se pourrait qu’Apple attende la sortie de la nouvelle génération d’accessoires avec la Watch Series 6 et ses nouveaux capteurs qui devraient normalement permettre la mesure du taux d’oxygène dans le sang. Une donnée supplémentaire pour l’application santé qui pourrait ainsi affiner son diagnostic et repérer plus facilement les personnes souffrant du stress ou d’anxiété.
Apple continue de développer l’importance de ses produits dans la recherche médicale, notamment pour faciliter un premier diagnostic à partir des informations collectées au quotidien. Depuis 2 ans, les possesseurs d’une Apple Watch peuvent être alertées s’ils présentent des symptômes proches de ceux de la maladie de Parkinson.
Trouver des signes de dépression avec l’Apple Watch
Un groupe de scientifiques canadiens travaillent actuellement sur une application, PROSIT, elle devrait permettre de repérer les signes du stress, de l’anxiété, mais aussi de la dépression ou de la démence. Pour diagnostiquer de la façon la plus fiable les maladies mentales, les experts ne se contenteront pas de suivre les données sanitaires fournies par l’Apple Watch ou l’iPhone du patient. PROSIT viendra également analyser des données beaucoup plus sociologiques, comme le nombre et la durée des interactions.
L’application promet également d’étudier la vitesse de frappe sur le clavier virtuel, une première pour une application de santé. L’idée est de trouver des signes de stress dans une vitesse ou une force de frappe différente de la normale. L’ensemble de ces informations doit permettre, une fois recoupées entre elles, de faire un bilan complet sur la santé mentale du patient. Aujourd’hui, PROSIT est en phase de test avancée et plus de 300 personnes l’utilisent déjà au quotidien de façon expérimentale.