Severance : sur ce point, la série fait mieux que Slow Horses et The Morning Show
Apple se remplit les poches grâce à Severance.

Le premier épisode de la deuxième saison de Severance est disponible depuis le 17 janvier sur Apple TV+. Un bonheur pour les fans qui attendaient tout de même la suite de leur série à suspense depuis près de trois ans. Apple mise probablement gros sur la sortie phare de son début d’année. Le cabinet d’analyse Parrot Analytics révèle justement à quel point l’entreprise américaine peut s’estimer heureuse d’avoir un tel programme de son catalogue en dévoilant les recettes générées par la première saison de Severance.
200 millions de dollars engrangés par Apple grâce à Severance
Parrot Analytics révèle que la première saison de Severance a généré plus de 200 millions de dollars. Le média Deadline rapporte que pour arriver à ce résultat, Parrot possède sa propre méthode de calcul, qui utilise une formule pour corréler la demande du public avec le nombre d’abonnés et donc les revenus générés. À titre de comparaison, une saison de Slow Horses a rapporté 184,8 millions de dollars à Apple. Par ailleurs, The Morning Show a rapporté 299,4 millions de dollars, mais sur une période beaucoup plus longue.
Nul doute que la firme de Cupertino espère un résultat aussi bon pour la deuxième saison de Severance, dont le prochain épisode sera disponible ce 24 janvier sur Apple TV+. Voici un petit rappel du synopsis de la série à suspense.
« Dans Severance, Mark Scout (Adam Scott) dirige une équipe chez Lumon Industries, dont les employés ont subi une opération chirurgicale de séparation entre leurs souvenirs liés à leur vie professionnelle et ceux liés à leur vie privée. Cette expérience risquée d’équilibre entre vie professionnelle et vie personelle est remise en question lorsque Mark se retrouve au cœur d’un mystère qui l’oblige à se confronter à la véritable nature de son travail, et à sa propre nature. Dans la deuxième saison, Mark et ses collègues découvrent à leurs dépens les conséquences désastreuses d’une mauvaise manipulation de dissociation ».